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Ricardo _ What you say ? Baila !! (terminée)

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Message par Ricardo J. Salvi Jeu 1 Avr - 23:23


Ricardo Julian Jimenez Salvi


« We all float down here. Yes, we do ! »


Date de naissance et âge : 28.03.1993 (28)
Date d'arrivée à Surmont : été 2017
Origine et nationalité : Né à Bienne, Suisse, il a la double nationalité espagnole (Galice)
Métier : maître-nageur par vocation apparue avec le temps, il a cumulé les jobs d'animateur en centre de vacances mais désormais plus manifestement depuis quelques mois de voiturier pour un hôtel 4****/5*****
Situation familiale : seul à Surmont, ses parents vivent toujours à Bienne tandis que la famille maternelle est en Espagne et celle du côté du père éclatée en France du Sud-Ouest et frontière entre France-Suisse et Italie. Il a accueilli un cousin pendant deux semaines, mais sinon il n'a suivi personne de sa famille mais conserve de nombreux liens par téléphone ou messagerie instantanée.
Orientation sexuelle : hétérosexuel
Qualités : libre ○ tempéré ○ flexible ○ discret ○ observateur ○ curieux ○ reconnaissant / humble ○ entreprenant ○ décontracté
Défauts : distrait ○ têtu ○ capricieux ○ profiteur ○ jaloux ○ sensible ○ méfiant ○ cachottier ○ joueur ○ provocateur
Groupe : perdu sans l'autre
Avatar : Timothy Granaderos

Lien avec la gémellité
Au-delà du fait qu'il a 2 cousines jumelles, ce qui tient véritablement de la gémellité, Ricardo doit sa venue à une grossesse qui n'est pas arrivée à terme juste avant que sa mère ne puisse enfin donner la vie à  un fils. Cette information n'a été apprise par Ricardo qu'après sa majorité et permet d'expliquer en partie pourquoi durant son enfance et adolescence il a vécu de légers troubles de la personnalité en lien avec le subconscient affecté par cette perte ignorée selon lui mais pourtant bien présente notamment dans les plus forts moments émotionnels.

Histoire ou Anedoctes
O Barco de Valdeorras (ESP) / Delémont (SUI)
Ricardo n'a jamais vécu en Galice, y a à peine posé les pieds une fois pour découvrir ses origines les plus éloignées qui le constituent à soixante-quinze pourcents. Mélangée à une lignée entièrement ibérique qu'il hérite par sa mère, coule également du sang espagnol par son arrière grand-père paternel qui a porté le nom de Triquell depuis la province de Saragosse (Aragon) quand il a migré en Suisse avec sa femme et donné naissance a une fille qui épousera un homme, Gilberto Salvi, originaire du Sud-Tyrol annexé par l'Italie lors de la défaite allemande de la première guerre mondiale. Se reconstruire, bâtir une vie dans une Suisse Romande avec les premières difficultés de la langue qui le poussent à privilégier un métier manuel. Gilberto Salvi peine à trouver sa voix tandis que sa femme lui offre quatre enfants en l'espace de sept ans. Installés à Delémont, es temps sont durs mais le couple s'accroche à l'espoir d'une vie heureuse à défaut d'être prospère lorsqu'il trouve du travail dans la charpenterie-menuiserie. Leur ainé Eduardo marche dans les pas de son père et ils seront bientôt suivi par le cadet Benito qui ferme la fratrie en plus de deux filles Donna et Carlota.

Le Bernois (SUI)
Benito Salvi rencontre sa future épouse à Bienne à une trentaine de kilomètres au sud de Delémont. Celle-ci est en pleine reconversion et s'apprête à rentrer chez ses parents à Neuchâtel à une vingtaine de kilomètres plus à l'Ouest. D'origine espagnole, une alchimie se crée directement lors de leur première rencontre. Mónica Jimenez rentre chez les siens l'espace de deux ans avant de se mettre en ménage avec Benito l'année de leur mariage et de la création de l'entreprise familiale à la sortie de la ville. L'émancipation de la femme lui permet de trouver un travail à Bern au consulat espagnol mais son contrat n'est pas reconduit au bout des six premiers mois, jugée inadaptée au poste à cause du manque de maîtrise de la langue allemande. La vie des Salvi a pris le revers de leur passé : là où un ancêtre germanique en a oublié ses racines, les générations suivantes en paient le prix d'une certaine manière. Mónica Salvi-Jimenez ne met toutefois pas longtemps pour glaner un poste dans un hôtel de Neuchâtel où elle peut profiter de la proximité avec ses proches et avoir un point d'attache entre les deux villes qui rythment sa vie.

Quand le sort ne se suffit pas...
C'est au moment où ils crurent leur vie dans sa période la plus heureuse que Benito et Mónica Salvi apprenent la venue prochaine de leur premier enfant. L'hiver 1991-1992 est bien froid mais le foyer se réchauffe plus qu'au bois ; à la joie d'accueillir un petit garçon pour lequel le prénom est déjà tout trouvé. Ce sera Jaume Adrian avaient-ils décidé d'un commun accord. L'histoire change, et l'espoir meurt avec Jaune dans le ventre de Mónica durant les premiers mois de sa grossesse. La dépression couve à la maison où la tristesse d'une mère la tient à l'écart de son travail qu'elle ne reprendra plus jamais. Psychologiquement le premier semestre de 1992 est le plus dur, jusqu'à apprendre que - et ce pour la seconde fois en l'espace d'un an - Mónica porte à nouveau l'espoir de recréer l'existence à la fin du printemps. Le beau temps, le cap des trois mois qui réconforte le passage de l'été à l'automne où la seule chute sera celle des feuilles depuis le haut des arbres, redonne le sourire en constatant que le ventre s'arrondit bien à vue d'oeil et ira à terme accoucher d'un merveilleux bébé. Jaume aurait-il été ainsi ? Si beau à prendre à bras et à réconforter lors de ses premiers cris à la lumière des pleurs de joie de ses parents. Impossible de l'appeler pareil, lui qui naît à Bienne avec une poignée de semaines d'avance sur la date annoncée comme s'il était pressé de pointer le bout de son nez pour apercevoir avec ses yeux de nouveau-né le gigantesque sourire d'un couple soulagé. Ricardo "Youlian" doivent préciser les deux parents lorsque l'infirmière écorche le second prénom choisi en adoptant un accent beaucoup plus proche du germanique que de l'espagnol.

Tout reste une solide affaire de famille
L'enfance de Ricardo n'a rien d'exceptionnel, très loin de là. Une scolarité classique à voguer entre moyenne et bas du panier dans ses résultats scolaires, à couler en langue allemande comme si le destin avait damné cette famille depuis plus de cinquante ans. Il vit avec les évolutions numériques et technologiques des pré adolescents du début des années 2000, se passionne au métier de son père et de son oncle sans songer à un jour faire perdurer leur labeur dans une société où le tertiaire monopolise les avancées globales. L'humain préserve sa place d'importance et Ricardo échappe à la réclusion dans sa chambre devant écrans et consoles vidéos. Son appétence pour le monde extérieur est remarqué lors de son conseil d'orientation qui l'annonce dans une filière naturelle telle que les forêts et la biodiversité. Mais son choix pour l'Architecture, le bois et le génie civile à la haute Ecole spécialisée bernoise n'est pas concluant et il rentre bredouille à la maison au bout de sa première année supérieure avec un échec en poche. Il a beau essayer, rien n'y change : les Salvi pataugent avec cette langue allemande qui leur échappe inlassablement. Le bernois comme la plupart des autres cantons suisses sont à proscrire pour se tourner vers un contexte entièrement francophone... sauf que sa petite amie du moment est parfaitement bilingue et que les parents sont bien établis à Bienne.

S'ouvrir au monde
L'aisance dans les relations sociales ont toujours été stupéfiantes chez le jeune Salvi qui compense ainsi son statut d'enfant "unique" qui n'aura ni frère ni soeur pendant que partout ailleurs dans la famille naissent bébés en pagaille. Motivé par le contact, la propension à découvrir l'autre et à partager avec lui sur différents aspects, Ricardo fait la liste des possibles métiers pour pouvoir en regrouper une grande partie dans un même domaine : le tourisme. Ca ou l'évènementiel, les deux pouvant être conjugués ensemble, il analyse le champ des opportunités aussitôt après être redevenu célibataire. Mais étudier a un coût, surtout si c'est à des centaines de kilomètres, que ni lui ni sa famille ne peuvent se permettre d'engager. Faire tourner l'entreprise est assez compliqué que pour pouvoir à la fois faire vivre le couple et autoriser le fils devenu majeur à s'envoler de ses propres ailes en lui offrant un coup de pouce à son départ d'autant quand ses idées ne sont pas arrêtées à une certitude de vouloir faire exactement ceci ou cela plus tard : les contributions sociales sont vastes qu'au bout de l'été Ricardo n'a toujours pas décidé vers où aller. La France paraît être la meilleure destination pour lui donner l'opportunité de concrétiser une formation à défaut d'un diplôme, mais l'improbabilité se dresse devant le prix d'un studio à Annecy ou Lyon en plus du coût du trajet. Pas les moyens, l'entraide familiale vient jouer pour entrevoir une porte à pousser. Un IUT abordable à Perpignan, tous frais logé chez une tante accueillante qui s'organise avec déjà deux grands enfants dont l'un des deux qui a déjà quitté le cocon familial laisse on destin entre les mains de Ricardo : ça ou apprendre le métier transmis jusque lors de génération en génération dans le travail du bois de construction. Avec un pincement, désolé du chemin emprunté à la limite de ce sentiment d'abandonner ses parents, ces derniers encouragent Ricardo dans son besoin à s'épanouir. La faculté est peut-être un palier trop haut pour le jeune homme qui réussit ses études à la sueur de notes acceptables et, toujours poussé par des parents soucieux de vouloir le revoir revenir en Suisse mais préférant le savoir heureux dans la route qu'il se trace, il s'installe à Perpignan et s'approche d'une vie en bord de mer. De formation en formation complémentaires, il traine derrière des installations éphémères de bar à cocktails où il réussit à peu près à servir des breuvages corrects. Mais son aisance la plus naturelle ne se plante pas derrière une palissade n'importe où que ce soit sur plus de 600 kilomètres de littoral de Canet en Roussillon jusqu'Alicante. Déployé à Argelès et à Lloret de Mar où il subit son bizutage, il postule sur une plateforme qui rassemble des milliers d'animateurs qu'il devient au cours d'une énième formation d'à peine trois semaines, et se voit engagé dans des missions chaque été ou même en hors saison. Ses attributions vont de la surveillance des plages de baignade, la préparation des transats et des zones d'activités, à la gestion du parc de jet-skis et les séances d'aquagym pour le club de retraités venus en vacances par quinze heures de car depuis la Belgique. Le sourire, la bonne humeur communicante, le dynamisme, deviennent son gagne pain là où d'autres ont choisi de gagner leur vie dans ces endroits bondés par des choix moraux plus prononcés que de sacrifier une part d'eux et surtout d'elles pour vivre...

De l'aisance du contact au tourment des sentiments
S'il dévoile sans retenue son sourire éclatant sur un visage à l'abord sympathique, Ricardo ne réussit pas à se convaincre sur le plan amoureux. Il faut dire que se poser de ville en ville, passer de Benidorm à la Catalogne puis revenir vers Salou puis encore ailleurs au fil des mois qui ne lui offrent de stabilité que celle de se donner pour ce qui le motive, est un tue l'amour qui ne présage que d'histoires d'une semaine avec des collègues ou parfois touristes en recherche de dépaysement. Elles viennent de toute l'Europe, même encore plus loin pour certaines, mais ne restent jamais et finissent par s'en aller. Le revers de la médaille de se rapprocher de quelqu'un, de lui trouver une accroche mais d'en voir le potentiel noyé dans un dernier verre avant de tourner la page. Des relations consenties n'être que passagères, qu'amusement et songe d'un bonheur ponctuelle, la plupart ne posent pas de problème. Le plus dur c'est de découvrir au bout du sixième contrat ensemble, à se retrouver par le biais d'une envie commune de garder le contact et s'assurer d'avoir un repère réciproque dès le début de la mission, que celle-ci prenait une dimension toute autre et se voit ornée d'un bijou qui annonce l'union prochaine de cette fille avec un autre. Celle qui rigolait en soirée entre collègues de vacances qu'elle ne pouvait pas tomber sur mieux que Ricardo, sa valeur sûre en tout instant, qu'elle se sentait pousser des ailes avec lui, fiancée entre deux étés ? Et qui revient pour profiter une dernière fois dans ce studio partagé comme à leur habitude pour économiser un maximum d'argent ? Ses doigts qui osent encore se poser sur lui debout devant le frigo quand il tente de crever le malaise avec un humour moyen et qu'elle en rigole, qu'elle lui montre qu'il a ce talent de la charmer pour un rien. Contre son gré cette foi, dans ce lit double où il n'aura jamais aussi eu mal que de savoir à quoi cela ressemble d'étouffer l'envergure de sensations ressenties depuis plus de deux ans qu'il pensait partagées. Dans un dernier élan, il lui a souhaité tout le bonheur, bien trop bon à satisfaire ses demandes avant de tourner la page et de préférer contempler l'immensité de l'océan dans cette nuit déchirante à Biarritz où tout ce qu'il s'autorise à penser, c'est d'oublier de repartir le lendemain pour une autre destination où des dizaines, des centaines de personnes lui souriront à le croiser pieds nus dans le sable ou sur le macadam fumant du brasier estival. Ricardo ne manque pas de merder par la suite, une semaine sur deux avec une serveuse de restaurant et quelques jours au milieu de tout cela avec une fille traînée de force par ses parents dans ce resort qu'elle déteste. Ricardo se moque un instant de la morale, avant d'y revenir au galop, contrarié par cette attitude qui dépasse sa conception. Un écart sans conséquences, mais son empathie prend le dessus avant qu'il ne franchisse un autre cap encore plus abject .. et qui lui aurait nécessité de dépenser son argent à le jeter par les fenêtres pour profiter du monde de la nuit sous le regard de celles qui ne demandent qu'à le voir lâcher ses billets pour leur tirelire personnelle. Accosté en plein club en compagnie de connaissances qu'il a déjà perdues avec les heures qui passent, il se raisonne juste avant de se retrouver dos au mur, relève la tête et sort de cet état déprimant. Une bonne nuit de sommeil. Une semaine de réflexion. Un mois sabbatique pour se remettre en question... Ses parents qui sont heureux de le revoir poser ses bagages à la maison à Bienne et prendre de leurs nouvelles.

L'opportunité d'une carrière revisitée
Tournant en rond à Bienne, il ne faut pas un mois à Ricardo pour repartir à l'aventure au large de la Méditerranée. Cette fois-ci, il coupe son profil sur la plateforme dédiée aux postulants de jobs d'été pour se dénicher des contrats via un réseau professionnel et le bouche à oreille. A deux doigts de s'installer à Borriana, au Nord de Valence, ce qui lui permet de se projeter dans un rayon de 200 kms entre Benidorm et Salou, il jette son dévolu sur une offre promue dans les premiers résultats Google par un système publicitaire. Employé polyvalent saisonnier en CDI, chose rare, dans la ville-état de Surmont entre l'Espagne et de la France. Une localisation presque idéale, un Monaco bis ? Ricardo connaissait Surmont de nom, et uniquement de nom, pour avoir bordé cet état-nation de principauté à chaque fois qu'il descendait en Espagne ou remontait en France. Carrefour d'un chassé croisé, occasion à saisir qu'il ne laisse pas passer au milieu de l'année 2017. La période d'essai de deux semaines débouche sur la signature d'un contrat en main : un mi-temps qu'il organise en compagnie de son manager le vendredi après-midi pour la semaine à venir, et où il devient au bout de deux ans le second maître nageur référent de l'équipe du centre vacancier qui travaille en étroite collaboration avec d'autres établissements de Surmont. Piscines privées ou municipales, plages, l'équipe tournante surveille tous les endroits de baignades de Surmont. Trop court financièrement pour se projeter ailleurs que dans un petit appartement vide de Maerin, il y vit le temps de se faire une santé qui ne s'annonce pas si rapidement qu'il l'aurait escompté. Un mi-temps ne rentre pas autant d'argent sur le compte en banque qu'un travail à temps complet, voilà l'évidence qui apparaît devant lui de devoir cumuler avec un second travail pour espérer une vie un peu plus ambitieuse que dans un quartier où il ne reste que le temps de quelques heures de repos avant d'arpenter à nouveau les trottoirs de Surmont vers son travail de bon matin. Au milieu des emplois proposés et placardés sur les affichages publics de la mairie, Ricardo ne cherche pas à perdre de temps et s'essaie à devenir agent d'accueil à l'hopital mais abandonne au bout de sa première semaine. Son attention se porte ensuite sur coursier mais sa méconnaissance des adresses le pénalise et il se fait virer en moins d'un mois. Apprenti bibliothécaire ? Trop passif. Buraliste ? Incompatible avec ses créneaux. Docteur en... ? Laisse tomber. Ebouer ? Euh... non merci. Gemmologue ? Cool le travail d'une de ses cousines. Maçon ? Magasinier ? Manager ? Avec le diplôme dans un Kinder Surprise aussi ? Pharmacie(nne) ? Ok. Bon, nous n'allons pas faire toute la liste par respect pour les gens qui liraient cette biographie. Toujours est-il que rien n'est taillé pour lui, mais Ricardo part se renseigner dans un hôtel qui cherche un réceptionniste. Il se doute pertinemment que les horaires ne pourront pas coller à son travail de maître nageur, mais il apprend en avant-première que l'hôtel s'apprête à diffuser une offre d'emploi pour un voiturier et que ce travail peut s'adapter en fonction de l'équipe d'employés en place selon les besoins du postulant. Les doigts croisés, prêt à aller mettre un cierge à l'église de Surmont et prier n'importe quelle Notre-Dame, il candidate et pose ses conditions. Le service RH de l'hôtel se retient de publier l'annonce et le teste pour s'assurer que son agenda est compatible sur le long terme en fonction des disponibilités de chacun. Bingo, tout roule à merveille dans ce boulot où son sourire encore plus ancré de son visage fait mouche aux clients qui lui laissent leur voiture avec un clin d'oeil en retour de sa bonhommie grandissante. Quelques centaines d'euros sur son compte en banque, une possibilité d'entrevoir mieux que cet appartement à Maerin qu'il n'a jamais vraiment pris la peine de décorer. Fin 2019 vient enfin l'éclaircie financière de briguer un appartement très modeste dans le quartier un peu plus jovial de Nanlimar où il déménage pour y résider toujours à l'heure actuelle. Son double travail l'occupe pas mal, avec quelques créneaux en soirée qui l'amène à faire un nombre d'heures qu'il ne calcule plus depuis longtemps. Voir son compte en banque se stabiliser à atteindre parfois 4 chiffres est une réussite qu'il a partagé avec ses parents. Une réussite là où d'autres y verraient une fortune et d'autres encore le prix d'un cigare sur le luxe de leur voilier détâché à quelques lieues du port de plaisance. Chacun voit la vie comme il le souhaite ... Pour Ricardo c'est sans autre richesse plus importante que ce sourire qu'il veut que la vie voit sur son visage à chaque journée de cette existence qui se lève avec un soleil à l'horizon et dans la tête... Reste le coeur, mais peut-on vraiment avoir tout dans la vie ? Un peu de pluie pour éviter de se brûler trop les ailes, est ce vraiment mal ? Le temps le dira, mais à presque 30 ans, Ricardo préfère sourire à cette vie même quand elle ne veut pas lui sourire.


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Derrière l'écran
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Âge : 4e décennie à peine entamée
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Inventé ou scénario : inventé
Acceptes-tu l'intervention du maire pour pimenter tes rps ? : oui, volontiers.
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Dernière édition par Ricardo J. Salvi le Lun 5 Avr - 20:00, édité 11 fois
Ricardo J. Salvi
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Message par Lyanna Sorensen Jeu 1 Avr - 23:32

Bienvenue sur le forum ! puppyeyes kisss plz
Tu es le premier à nous rejoindre, je suis super heureuse que tu ais choisit le forum heart
J'ai hâte d'en savoir plus sur Ricardo qui a l'air d'être un personnage super intéressant, n'hésites pas à me mp à la moindre question sur le forum angel
Bon courage pour ta fichette smile coeur
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Message par Raphaël Sorensen Ven 2 Avr - 9:57

Bienvenue à toi petit Padawan, comme Lya l'a dit on est très heureux que tu aies choisi le forum! You're the first  applaudissement
Hâte d'en savoir plus sur Ricardo, n'hésite pas si tu as des questions heart
Raphaël Sorensen
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Message par Ricardo J. Salvi Sam 3 Avr - 9:35

Merci à toutes les deux, j'espère que mon personnage plaira et s'intégrera dans ce monde musique
Ricardo J. Salvi
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Message par Raphaël Sorensen Lun 5 Avr - 21:49

Validation

Ricardo _ What you say ? Baila !! (terminée) ScornfulSameBongo-size_restricted Ricardo _ What you say ? Baila !! (terminée) EuphoricImpressionableBernesemountaindog-size_restricted Ricardo _ What you say ? Baila !! (terminée) FantasticNewAnhinga-size_restricted Ricardo _ What you say ? Baila !! (terminée) ShorttermGleamingDobermanpinscher-small


Bravo tu es validé


Je crois que tu as oublié livreur chez ubermeat? et même éleveur de dromadaire?   lol quelque chose me dit que l'amour vas lui tomber dessus nah? les rayons de soleil arrivent toujours à atteindre le coeur, les averses vont passer  heart

Félicitations, tu viens d'être validé et tu rejoins la belle communauté Surmontaise. Pour bien t’installer voici le lien que nous t'invitons à visiter et qui te guidera: ici

Maintenant que tu es des nôtres tu peux à aller créer ta fiche de liens afin de créer de nouvelles relations, qu’elles soient bonnes ou mauvais,  avec les autres membres. Tu peux aussi tenir ton journal de bord pour suivre l’évolution de ton personnage. Pour développer les réseaux sociaux ton personnage, n'hésite pas à découvrir notre partie multimédia.

Tu pourras aussi créer tes propres scénarios si tu en as besoin, ou tout simplement demander une recherche de pré-liens.

Une fois encore, bravo, et nous te disons à très vite, au détour de tes aventures! Bien entendu, si tu as la moindre question notre boîte mp t’es grande ouverte.





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